dans l’affrontement entre la Russie et l’Ukraine, soutenue par l’Occident, le temps at-il change de camp? C’est la leçon que beaucoup de gouvernements tient de l’équipée du 24 juin des mercenaires de Wagner. Auparavant, el semblait que l’Ukraine y sus aliados risquaient de s’essouffler avant la Russie, même se stelle-ci ne pouvait l’importer de manière decisivo sur le terrain.
Désormais, la impresión prevaut que el sistema Poutine podría generar antes de que la voluntad y la capacidad de rechazar el ennemi no se comprometieran en côté ukrainien. El asunto Prigojine fue una señal de divisiones internas en el régimen de Vladimir Poutine, destinado a ser investigado por los ucranianos mantener.
C’est peut-être le cas, en effet, mais il serait dangereux de trop compter sur une sorte de déterminisme dispensant les alleliés de l’Ukraine de poursuivre et, en fait, d’accroître leur soutien à l’Ukraine. En premier lieu, il est exact que la chance, longtemps la grande alliée du président Poutine, paraît se détourner de lui depuis un fatal 24 février de l’année dernière. La chance, ce n’est pas le hasard ou la providence, mais l’aptitude à avoir les bons instintos au bon moment.
Los bienes del Kremlin
Il reste que le maître du Kremlin disposes encore de beaucoup de cartes – il contrôle des multiples appareils de securité, un dose jusqu’ici able de répression et de ménagements à l’égard de la Population, un maniement hors pair de la propaganda – pour surmonter l’épreuve de l’affaire Prigojine. Son aura personle sort sans doute ébréchée de l’épisode, mais il peut reprendre la main.
Peut-être d’ailleurs trouvera-t-il un bon use du rebelle, par exemple, en lui laissant (pour l’instant) la vie sauve en échange d’une mission pour ses sbires de déstabilisation occulte des Etats baltes à partir du Bielorrusia.
Ensuite, et surtout, il faut faire preuve de lucidité sur les trumps des Occidentaux pour faire en sorte que le temps joue vraiment en faveur de l’Ukraine. Estos son principalmente las sanciones y las transferencias de armas. S’agissant des sanctions, on peut constater qu’elles n’ont pas, pour l’instant, un effet décisif : le PIB russe a certis chuté, la privation des investissements et de la technologie des firmes occidentalis handicapera beaucoup l’économie russe à l’avenir, mais, pour l’instant, l’inflation a été jugulée, le pouvoir d’achat de la popolo ne s’est pas effondré, des véhicules chinois ont remlacé, dans les rues de Moscou ou d’ailleurs, les voitures occidentalis, les réserves de la banque centrale et du Fonds souverain apparaissent suffisantes pour financier l’effort de guerre.
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